THE LAST DAYS OF PHILIP K. DICK
4.07.2009
Petit trajet. Chez les formidables BoingBoing, on parle d’un article du New York Times auquel a contribué Xeni Jardin, un des moteurs de ce fabuleux blog. Curieux, je lis l’article de William Safire, Reset Button, une sorte de dissertation amusante sur une expression qui fait son chemin dans le langage de la politique américaine: RESET. Ainsi que REBOOT. Discours sur les subtilités du langage qui séparent ces deux appellations, le papier est assez amusant.
Mais un autre sujet retient mon attention: j’apprends que l’inventeur du beanie, ce casque d’enfant propulsé à l’hélice de l’imaginaire, est un auteur de science-fiction et dessinateur, Ray Faraday Nelson. Curieux, je visite son site internet et j’y découvre ce superbe texte; une sorte de témoignage (peut-être un peu court pour appeler la chose un récit, mais je ne suis pas certain que le genre se limite dans sa longueur...), une page touchante donc d’un moment que l’auteur passe avec la légende de la science-fiction.
Et c’est vraiment une image différente que nous laisse ce texte, loin des excès de caractère qui accompagnent le parcours de l’auteur. Loin de la paranoïa qui empoisonnait ses dernières années.
Do androids dream of electric Disneyland? I guess they do...
Lien.
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